Vous savez ce qu’on dit : toute bonne chose a une fin. Après près de trois ans de loyaux services, je quitte mon poste de rédactrice publicitaire chez Promotel. Je suis appelée à voguer vers d’autres cieux, là où m’attendent de nouveaux défis. Pour ma dernière chronique promotelienne, je serai brève! 🙂 Continue reading
Non, mais… il fait-tu assez beau, dehors?
Non, non. C’est promis, je ne te parlerai pas de la pluie et du beau temps. Comme disait Hipolito* : « C’est l’angoisse du temps qui passe qui nous fait tant parler du temps qu’il fait. » Et comme le temps ne me fait pas peur, parlons d’autre chose.
« Une fois sur place, j’ai été agréablement surprise par les installations : cuisine vaste et lumineuse, toute équipée, située sur la mezzanine surplombant l’épicerie… Tout était parfait. »
Par Amélie Dugal – Les gens qui me connaissent bien savent que la nourriture est pour moi une seconde nature. En plus d’être une gourmande insatiable, je milite contre le gaspillage et l’insécurité alimentaire, et je rêve un jour de posséder une terre où pousseraient gaiement potirons, tomates et arbres fruitiers. Mais, surtout, j’adore cuisiner. Pour moi, c’est un art qui se perpétue et qui se développe. C’est à la fois social et sensoriel. Je ne me lasse pas de parcourir mes livres de recettes, de découvrir des émissions de cuisine, de consulter des blogues culinaires et de contempler des photographies appétissantes. Même si je n’étais pas tellement douée en chimie, jadis, je suis aujourd’hui fascinée par tous les mélanges possibles de saveur, de textures et d’odeurs. Et je crois qu’il n’y a rien de plus généreux que de se voir offrir un joli plat préparé avec amour. Dans cet esprit, j’essaie d’être plus autonome en fabriquant moi-même le plus de produits possible. C’est une question de goût et de qualité, certes, mais aussi d’économie.
Par Amélie Dugal — Ce mois-ci, on t’a beaucoup parlé de l’importance de la musique. Ça peut te paraître futile, mais pense un instant à ta dernière visite à l’épicerie. Avoue que tu t’es surpris à chantonner « Pleurs dans la pluie » en choisissant ton tofu extra-ferme, et que tu as essayé de te convaincre que tu aimes juste cette chanson ironiquement (#FAIL).
Depuis longtemps, je sais que je ne sais rien (merci à mon pote Socrate et à mon prof de philo 2). Alors, en digne petite-fille de ma grand-mère, je suis IN-CA-PA-BLE d’arrêter d’aller à l’école. Inutile, donc, de préciser que je suis totalement accroc aux MOOC (massive open online courses, ou cours en ligne à accès libre)!
Par Amélie Dugal – Chaque année, au moment de « popper » le champagne, c’est la même chose. « Bah… les résolutions, c’est pour les autres. » De toute manière, je ne les tiens jamais plus de quelques jours heures. Comprenons-nous bien : je ne suis pas parfaite. Bien sûr, je pourrais perdre quelques kilos, boire moins, économiser plus, recommencer le jogging… Pas de doute : y’a place à amélioration sur ma p’tite personne. Ce qui me retient, c’est un heureux mélange de « manque de motivation » et de « mauvaise foi ».
Cette semaine, procurez-vous le jus d’organe (…) (Orange, organe. Une seule lettre de différence, et pourtant…!)
Par Promotel inc. – La période des Fêtes est toujours trèèès achalandée, chez Promotel. On court de tout bord, tout côté pour arriver dans nos délais et satisfaire nos clients au mieux.
Mais, comme dans tout moment de rush qui se respecte, plus de travail est souvent synonyme de plus… d’erreurs. Hé oui! Quand ça fait 100 fois qu’on essaie de trouver des formulations différentes pour souhaiter « joyeux Noël », à travers les suivis, les appels téléphoniques, et les nouveaux projets, on laisse toujours passer plus de coquilles. Et ça donne parfois de vrais petits bijoux, que nos sympathiques collègues à la production et à la technique ne manquent pas de nous remettre sous le nez!
Par Amélie Dugal – Quand je rencontre quelqu’un pour la première fois, je dis souvent : « Salut! Je m’appelle Amélie. Dans la vie, je suis rédactrice et j’ai un chat-pas-d’poil qui s’appelle Chooka. » Tout le monde, pour ainsi dire, sait ça. (Et comme je suis incapable de résister à la tentation de le montrer à tout le monde… voilà!)
Le vendredi 16 octobre prochain, ce sera la Journée mondiale de l’alimentation, et j’en profite pour vous jaser de gaspillage de bouffe.
Par Amélie Dugal – Peut-être parce que je suis une grande gourmande qui entretient une relation quasi sentimentale avec la bouffe, mais la question de l’insécurité alimentaire me touche particulièrement. Le vendredi 16 octobre prochain, ce sera la Journée mondiale de l’alimentation, et j’en profite pour vous jaser de gaspillage de bouffe. Saviez-vous que plus d’un tiers de la nourriture qui est produite dans le monde est jetée chaque année? Au Canada seulement, c’est 40 % des aliments produits qui sont gaspillés.
Mon livre préféré de toute la vie : La part de l’autre, d’Eric Emmanuel Schmitt
Par Amélie Dugal – Je fais partie d’un club de lecture en ligne vraiment sympa, une initiative mise sur pieds par la splendide Catherine Cormier. (Je vous invite d’ailleurs à découvrir son entreprise, Betti – réseaux sociaux & rédaction. Elle fait un travail formidable!)
Par Amélie Dugal – Ceux qui me connaissent savent à quel point je suis attachée à mon quartier. Mon Limoilou douillet, mais pas trop. Juste assez. Mon p’tit bout de ville qui me fait aimer Québec et ses gens, leurs bons côtés et leurs travers. Limoilou, ça rend tout plus doux. Limoilou, c’est des rues accueillantes, bordées de grands arbres en voûte, comme pour te faire oublier que t’es en ville. C’est des voisins qui ne connaissent pas ton nom, mais qui t’invitent à prendre un verre sur leur balcon. C’est le rire des enfants qui jouent dans les ruelles, sans trop de surveillance. C’est des centaines de chats qui prennent d’assaut le quartier une fois la nuit tombée. C’est des conversations de « cadre de porte » qui ne finissent pas. C’est des escaliers tout tortillés. C’est des jardinières fleuries.
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